la cocotte de kiev en Périgord vert !

Mais suivez plutôt le guide...

Allez , ça passe, pas de soucis...

Voici les écuries des ânes.

Et quelques détails de ces jolis équidés.

Ne comptez pas sur moi pour vous donner la symbolique de celui ci.

Par contre il semble évident que l'oeil d'Horus ait inspiré l'artiste pour cet autre.

Sur son dos le rappel du lotus semble confirmer l'appartenance Egyptienne.

N'hésitez pas à développer vos idées, moi je séche.

Par contre j'aime beaucoup celui ci.

La mer est à peine ridée par mon aiguille qui caresse ses "flots bleus".

Pas de vagues, juste un miroir d'eaux profondes.

L'horizon s'élargit, la lumière miroite.

A peine quelques clapotis pour troubler les flots et faire un peu d'écume aux crêtes des vagues.

Des angles résolument différents, faute de pénurie de tissus.

Une autre écume s'était formée dans le ciel de juin.

Mais oui, je sais que c'est dangeureux de marcher en levant les yeux au ciel. Mais parfois ça vaut la peine, comme pour voir le clocher tors de Rochechouart.

Ou pour zoomer sur les protéges faîtiéres du Château.

Au niveau de la cours du chateau, une jolie colonnade, décidément tout est tors à Rochechouart.

Encore un joli détail qui a accroché mon regard.

C'est une girouette qui se trouve à Jarnac. Bonjour Patricia ! tu l'avais déjà remarqué celle là ?

Et ces personnes toutes munies d'un parapluie....

C'est parce que c'est l'enseigne d'un marchand de parapluies à Paris.

Et comme je suis dans les enseignes, voici celle d'un libraire.

Comme ce sac en demi cercle rayonnant comme un soleil.

0u celui ci à l'élégant travail d'appliqué et de piécé.

Celui ci assez simple, m'a interpellé par son tissu fleuri. J 'avais trouvé le même, au souk du Caire, pour mon patchwork intitulé : "Sous la tonnelle".

Il y en avait pour tous les goûts.

Et toutes les occasions.

Pour terminer voici une ancienne chemise de nuit en lin, qui a été retravaillée, d'abord à la peinture. Avec un semis de coquelicots et de reines des près.

Et des broderies et applications de dentelles. Les monogrammes étant d'époque.

A l'entrée un patchwork avec des maisons, je sais que beaucoup d'entre vous affectionnent ce bloc traditionnel.

Le thème de l'exposition était la musique. La créatrice de ce panneaux a donc choisi des robes de flamenco accompagnées de leurs éventails.

Mais évidement j'ai été interpellée par la bordure : "le chemin de l'ivrogne". Car si vous vous en souvenez, j'ai utilisé la même sur "Mes flots bleus".

Puis ce merveilleux panneaux sur lequel je me suis attardée à cause de la finesse des détails.

Au centre un original "jardin de grand-mère".et un quilting irréprochable.

Sur l'une des bordures ...et oui encore un "chemin de l'ivrogne", mais minuscule cette fois.

Et un semis de délicates broderies, avec une utilisation judicieuse des motifs des tissus. La dernière bordure est appliquée en coquilles sur un fond noir.

Et sur l'une des bordures intermédiaires : de minutieux appliqués. Bravo à la créatrice de cette petite merveille de finesse. ce merveilleux patch est le "MARIENBAD" une créaton de Sandrine Prat Blaudez pour le Thé à Coudre (http://www.letheacoudre.com) qui vend la fiche explicative .

Nous avons été accueillies par un couple d'ânes, très intéréssés par le contenu de nos cabas.

Les organisatrices avaient préparé tout le nécéssaire, pour réaliser un porte bobine.

Voici donc quelques unes de nos oeuvres. La queue de la souris étant en fil électrique, et dans son ventre ouatinée, du riz pour la lester.

J'ai également eu droit aux explications pour réaliser cette charmante matrioshkas en feutrine.

Sous son tablier qui se relève deux ronds de feutrine, pour y piquer des aiguilles.

Et dans son dos, un coeur pour y glisser les ciseaux.

Et oui, retour en France, signifie : quilting. Et "Tapis de feuilles" a bénéficié de ce régime ! Le voici terminé en plein coeur de l'été. Et disons que j'ai de l'avance pour l'automne prochain.

J'ai quilté le tour des petits hexagones et en échos autour des feuilles appliquées. Pour revoir les débuts du montage il vous suffira de suivre le lien en bas de l'article.

Et voici des fleurs de kiwi photographiées dans notre jardin en Dordogne. Je n'avais jamais eu le plaisir de les voir en fleurs.

Hier je vous ai parlé traditions...mais j'avais oublié Jehan, le géant. Beaucoup de villes du Nord possédent leurs propres géants.

Un "baroud" d'honneur pour .......

.....une formation venue d'ailleurs qui s'est distinguée par sa musique gaie et chaloupée.

Et par l'originalité de ses costumes.

Dans l'humidité ambiante ils ont apporté le soleil.

Et un vent de couleurs et de joie a soufflé sur les spectateurs.

Il pleuvait...mais cela n'avait pas découragé les badauds.

D'ailleurs il n'est pas tombé que de l'eau, mais aussi des confettis !

Et entre deux éclaircies et un arc en ciel...

Nous avons vu passer les Gilles : figures emblématiques des carnavals de Belgique. A travers les vêtements de pluie, on peut quand même apercevoir leurs uniformes . Mais nous n'aurons pas droit à la coiffe de plumes, trop fragile pour supporter les caprices de la météo.

Les vocations dans ces formations commencent souvent très jeune.

Les participants ont vaillament défilé.

Avec à la fin du cortège : Aliboron, l'âne géant, mascotte de la ville d'Estaires.

Il arrose la foule, et parfois récompense les suiveurs les plus tenaces d'une volée de friandises.