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Petit tour dans le massif des Chartreuses. A 1h 30 de Lyon, pourquoi se priver d'un tel spectacle

Sur le bord de la route, ce curieux monument, hommage de la commune de Saint Hugues en Chartreuse à l'un de ses enfants mort en Algérie.

Le monument est directement sculpté dans la souche de l'arbre. De loin je l'aurai crue en métal rouillé.

On voit bien les nervures du bois dans le chapeau.

Autre monument aux morts à Entremont le vieux, il est rare de voir des monuments en couleur.

Girafe en vue ! et ce n'est pas parce qu'elle est la plus grande qu'elle est la plus facile a repérée, car elle a une tenue de camouflage très adaptée.

La girafe est l'animal, le plus grand en hauteur, pouvant, grâce à la longueur de son cou, atteindre jusqu’à 5m50.

Et c'est justement ce cou très allongé qui lui permet notamment de brouter la cime des arbres.

Cependant aussi long que soit ce cou il comporte le même nombre de cervicales que les autres animaux. (7 de plus ou moins 40 cm).

Les girafes dorment très peu, moins de 2 heures pour 24 heures, et plus volontiers le jour, car elles peuvent continuer à surveiller l'horizon. En réalité, elles somnolent debout, les yeux grands ouverts et sur des périodes allant de 1 à 30 minutes d'affilée.

La girafe fut anciennement appelé camélopard, je trouve que ça lui allait bien. Entre caméléon pour son camouflage de loin , et pour léopard pour ses taches de près.

Chaque jour, je m'accorde un temps de repos pour prendre un café, à l'ombre des arbres. C'est à ce moment là, que je tire l'aiguille. Au fil des jours, les étoiles se sont montées. J'y ai ajouté une petite bordure avec les hirondelles.

D'ailleurs dans ce patchwork, les oiseaux sont très présents. Aussi bien sur le fond, que sur le joli tissu, style toile de jouy" ou même par des ramages ou des plumes. Il a donc bien gagné son nom : "A tire-d'ailes"

Fidèle à ma réputation, ce n'est pas Caro qui me contredira, je suis tombée à court de tissus pour certains blocs ... qu'à cela ne tienne, j'ai pananché les tissus, et du coup, le compte y est

Qu'il fait bon prendre le temps de se poser sur le banc du jardin.

J'ai trouvé près de chez moi, un tissu qui n'est pas "patch" mais qui encadre très bien l'ensemble. Voilà il est prêt à être quilter.

Hier nous culminions sur la colline qui travaille... C'est ainsi que l'on appelle la Croix rousse en opposition à la colline de Fourvière : la colline qui prie.

Apprétez vous à redescendre... et tandis que nous dévallons les escaliers (je n'ai plus compté les marches) le Bonheur nous barrait le chemin. Soyez heureuses mesdemoiselles

Nous débouchons sur la ville entre ses murs. Le ciel bleu est rayé par les fils du progrés.

A ses pieds le fleuve lui tend un miroir.

Peut être Verlaine y aurait vu "Le ciel est par dessus le toit..."

Quand les plus pessimistes n'y ont rien vu...

Et d'autres pendant ce temps y peignaient leurs propres couleurs.

Dans la cité idéale de Tony Garnier, les écoles primaires sont réparties par quartier. L'établissement dispose d'un préau, et d'une cour de récréation sur le toit.

Une reproduction d'une photo de classe a été rajoutée au dessin d'origine en 1938.

Cette photo a été prétée par une habitante du quartier des états unis, Il s'agit de l'école communale de la rue Ludovic Arrachart, année 1938-39

Les classes étaient mixtes

L'architecte s'est largement inspiré de l'influence italienne et de l'antiquité, pour le dessin de cette villa.

La cour intérieure est dotée d'un arbre en son centre, et devient une pièce à vivre. La lumière a beaucoup d'importance.

Sur ce mur peint, le montage de trois dessins de l'architecte Tony Garnier, montre son souci pour l'hygiène. En haut l'hôpital situé sur une colline aérée et ensoleillée, calme et loin de la ville.

Les pavillons distincts sont pensés pour être aggrandis. En bas du mur la disposition pavillionnaire annonce déjà le futur hôpital Edouard Herriot.

Je reviens sur le petit village de Pommerol, car il y à là une ambiance que nous avons goûté avec bonheur.

Comme le plaisir de manger quelques cerises sur l'arbre, en contemplant la vue.

Le murmure d'une source nous a rafraichit autant que son eau claire et glaciale.

Les genets nous ont fait paraître le ciel encore plus bleu.

.Tous ces petits détails qui apportent du charme à un village....

...et nous réapprennent à nous émmerveiller.

Même la roche ici, apporte sa touche d'originalité.

Voilà pourquoi un petit village secret et perdu dans la montagne devient lors d'une promenade un endroit hospitalier et apaisant.

Jugez plutôt. Du bleu, moi qui ne sui pas fan de cette couleur, je n'ai pourtant pas résisté à ceux ci.

Un coordonnée qui trouvera bien une utilisation.

Ceux ci ont déjà trouvé leur place dans mon Dear-Jane.

Pour un centre de bloc.

Des étiquettes qui peuvent servir au dos d'un quilt

Rien que sur le thème de la couture et de la mode.

Celui là, vraiment je l'adore

Et un livre pas du tout récent, donc l'agencement des couleurs est un peu démodé.

Mais il contient des modèles d'appliqué sur des essences d'arbres.

Comme ici, par exemple l'eucalyptus.

Et j'ai gardé le meilleur pour la fin ! le cadeau de mon mari : cette adorable machine à coudre de petite fille (15 cm).Elle doit dater des années 1920.

Alors je me suis mise à créer des petits mug-rugs. L'avantage c'est que ce sont des petits projets, et que j'aurai plein de petits cadeaux à faire à mes amies, lorque nous sortirons du confinement. C'est pourquoi aussi, je ne vous en montre qu'un pour ne pas totalement dévoiler la surprise.

Pour la plupart, je me suis inspirée de ce petit livre, les couleurs sont fraiches, avec des petites broderies sympas comme tout.

Autre défi, l'arbre de vie. C'est un cadeau de mon amie Carole. Un challenge qui avait été proposé dans son group de patchwork. J'ai commencé à le broder...affaire à suivre.