7-Art du fil, Salon de Nantes, Cécile Franconie
Sans parler des innombrables petits objets réalisés par l'artiste et que l'on pouvait admirer sur son espace d'exposition.
La vie en Ukraine puis Egypte à Lyon et maintenant à Bordeaux. Avec toujours le patchwork comme passion.
Sans parler des innombrables petits objets réalisés par l'artiste et que l'on pouvait admirer sur son espace d'exposition.
Aujourd'hui étape à Jonzac commune du Sud-Ouest, située dans le département de Charente-maritime.e couvent des Carmes est fondé en 1505 à l'instigation de Jean de Sainte-Maure, seigneur de Jonzac. Le couvent sera restauré en 1976 et deviendra un centre culturel. Des expositions régulières s'y déroulent toute l'année. Le Cloître abrite le musée archéologique.
Au cloître des Carmes de 10h à 18h30 avec une salle consacrée aux oeuvres de Liesbeth Spaans fondatrice du club.
Promis je vous mettrai quelques photos de l'exposition dès qu'elle sera terminée.
Cette artiste à vraiment de multiples talents....de la teinture à la peinture et de la broderie au tissage.
Sa passion s'inscrit dans un travail de mémoire, puisqu'il collecte les techniques et les points oubliés dans sa région d'origine , la Bretagne.
Autre découverte du salon : Françoise Grall. Elle extrait des plantes des pigments naturels qu'elle utilise pour teindre les tissus qu'elle utilise ensuite dans son travail
Lors de ses voyages en Afghanistan, Pascale Goldenberg commande et récolte des blocs brodés. Elle les commercialise ensuite par le biais de son association et au profit de centaine de femmes afghanes.
Un geste humanitaire auquel adhère beaucoup de patcheuses et autres passionnées du fil.
Dans le stand se tenait une exposition dont le fil rouge était la tulipe. Les participantes devaient introduire un carré afghan dans leur composition.
Un de mes préférés qui me rappellent les champs de tulipes, lorsque j'habitais en Hollande. J'aime particuliérement le travail façon "boro" (Heidi Zinner Allemagne)
Autre découverte au salon le travail de Rachael Daisy, artiste australienne passée maître dans l'art du pliage.
Même si j'admire beaucoup le bel effet et la gaiété communicative qui s'en dégage, je ne suis absolument pas tentée par ce genre de création.
Charles-Edouard de Broin est tombé amoureux des quilts aux états unis et c'est devenu une passion dévorante puisqu'il en possède des centaines.
Voici un détail du précédent quilt. On s'aperçoit que les femmes utilisaient toutes sortes de tissus et pas seulement du coton. Certaines bandes de satin sont très endommagées. Et les carrés pas forcément ajustés.
Sur ce détail on remarque que les bandes sont assez irrégulièrement cousus, ce qui lui donne toute son authenticité. Chaque carré est souligné d'une bande rouge qui encadre le centre.
Je suis allée au salon de Nantes pour la première fois cette année. C'est avec beaucoup de retard que je vais donc poster quelques articles sur le sujet.
Vous avez sûrement déjà vu sur les blogs des photos des différentes expositions. Alors je vais essayer de vous montrer les oeuvres plus en détail. A commencer par l'artiste japonaise Reiko Kato.
Passionné du style country américain et particuliérement pour ces adorables petites bonnes femmes dont le visage est toujours caché par un bonnet, d'où leur nom de "sun bonnet"
Le stand de Reiko Kato montrait à voir beaucoup de travaux de l'artistes et de ses élèves. Avec de jolies mises en scènes, comme ce canapé miniature et ses minis coeurs.
J'ai particuliérement aimé cette bordure qui exploite le tissu de fond et où s'applique de petits disques pour finir en bouquet de feux d'artifice. Je trouve que l'effet est moderne.
Pour ma part une nette préférence pour cette miniature en coeurs crazy et sa finition en vaguelettes.
Suite à notre visite de l'exposition consacrée à Hélène Lamarche, nous avons visité les jardins de L'Institut.
C'est une Initiative privée de mécénat artistique. En effet, Bernard Magrez est devenu mécène des arts contemporains, après avoir bâti une carrière d'entrepreneur dans le monde du vin.
Toujours autant de retard dans l'édition de mes articles. C'est pourquoi je vous livre un peu en retard, un petit compte rendu d'une exposition qui avait lieu jusqu'au 18 novembre à l'institut Bernard Magrez de Bordeaux.
L'exposition s'intitule les "Toisons d'Heures" et explore les liens entre poésie et matière textile.
Les oeuvres sont réalisées à partir de matériaux naturels et de récupération. Elles sont donc chargées d'une forte charge symbolique.
Je me suis attachée à prendre quelques détails des broderies, afin que vous puissiez vous rendre compte.
Réserves à la cire, ligatures, teintures, surpiqures, broderies ... nombreuses techniques employées qui marquent de leurs empreintes, le temps qui passe.